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3 mai 2009 7 03 /05 /mai /2009 12:02
ça m'amuse de voir qu'il y a un acharné qui vient ici tous les jours, et ce, pour constater que rien ne bouge.

Non, en ce moment, je n'ai plus de vie, plus le temps de penser à toutes ces choses qui font de moi ce que je suis.
Je ne passe pas mon temps à réviser, encore moins devant un écran d'ordinateur. Je ne suis pas sans arrêt en train de bouquiner (j'aurais certainement des choses à raconter).
Non, j'ai d'autres préoccupations moins marrantes, plus engageantes, mais très fatigantes.
Je passe mes journées à la fac. Cette dernière est vide de toute vie étudiante. De tristes chaines sont posées aux portes. Et un groupe d'étudiants veille au bon déroulement de cette vie enchainée. Préparation des cours alternatifs, préparation d'actions de contestations, tractation, argumentation, le tout organisé en plusieurs réunions qui durent des heures, et dans des AG ingérables.

Tout ça pour dire que cette "vie" bouffe ma vie extérieure au campus.
J'ai tenté de reprendre la guitare dans le courant de la semaine, c'est comme si jme remettais au piano après 10 ans d'inactivité. J'essaye de reprendre mes bouquins le soir, histoire de laisser vagabonder mes pensées ailleurs que dans les universités, rien à faire, les lignes ne se laissent pas lire. Tous ces films et séries que je me réserve pour mes soirées de décompression durent tellement que je m'endors devant. Ma maison est parfois vide quand je rentre le soir, ou alors tout le monde dort déjà.

Mais il y a eu vendredi. Cette journée a commencé par un ptit tour en voiture, puis un ptit tour en manif, puis deux ptits tours à la pep, puis un ptit tour chez un copain, puis un ptit tour pendant la nuit sur internet. De la franche rigolade, de nouveaux liens, et des conversations qui permettent d'oublier les tracas de la semaine.

Du coup, avec tout ça, j'étais bien inspiré hier, seulement, rien de concret n'est ressorti. J'ai la tête reposée, et peut-être que cet après-midi ou ce soir, j'arriverai à pondre quelque chose d'intéressant, en tout cas, rien de semblable à ce caca rédactionnel que je viens de vous produire.

Je vous souhaite à tous (au moins à l'unique personne qui vient tous les jours) de passer un bon dimanche.
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22 avril 2009 3 22 /04 /avril /2009 19:39
[...] Sous toutes les latitudes et à toutes les époques, le vieux con est indispensable à la formation de la jeunesse. Sans lui, le monde s'amollirait dans un nirvana d'intelligence quiète et de concorde universelle: une catastrophe d'ennui, d'immobilisme, et une promesse à long terme d'assoupissement et d'avilissement de l'espèce. Sans lui, pas de Galilée, pas d'Einstein, pas de Jeanne d'Arc ni de Louise Labbé, pas de Mozart ni de Rabelais. Car c'est de lui que viennent directement les grandes oeuvres de l'esprit. Seul le mur intraitable de la connerie permet à la pensée et au talent de rebondir et de se renforcer.

Petit éloge du temps présent, Jean-Marie Laclavetine



Le choix de non-image est réfléchi. Le vieux con n'est pas représentable car il n'a pas d'âge, ni de sexe, ni d'origine sociale. Le vieux con se cache aussi en chacun de nous, d'une certaine manière.
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17 avril 2009 5 17 /04 /avril /2009 19:27

Reflet d'une vérité sur soi


[...] Je peine à me le représenter, Germain Millet ne pouvant être approché qu'en tentant de saisir la ressemblance que le sang nous a donnée, me retrouvant, par exemple, dans le fait de n'être jamais à l'aise avec les gens, n'ayant pas le don de la parole, à la fois très émotif et brutal, sous des apparences calmes, et convaincu du bien-fondé de sa pensée: Germain Millet s'exprimait de façon coupante, abrupte, péromptoire, voire violente, et absolument rebelle à la dialectique. Il sortait de la timidité par la brusquerie. D'un peu balourd, il devenait butor, ou, s'il le pouvait, se réfugiait dans le silence et la solitude, alors qu'avec la même instruction, mais mieux stylé et doué d'une parole plus aisée, il aurait peut-être tout autrement vécu, dit mon père dans un portrait nécessairement trop lisse pour que je ne sois pas tenter de me tourner vers l'éclat ou vers l'ombre. L'éclat qui retrouve l'ombre avant qu'une ombre plus grande ne se referme sur ce visage que je tente de muer en verbe, faute de lui donner voix ou de l'entendre vraiment, ce serait là du roman, aurait-il peut-être dit, lui qui ne pouvait deviner que le garçon dont il saluait la naissance chercherait dans les morceaux de cette vie le reflet d'une vérité sur soi et lui ressemblerait sur le chapitre de la parole, de la timidité, de l'ennui et de l'humaine comédie dont il ne se sort que par des propos souvent excessifs, qui le renvoient à l'opprobre ou à la solitude.




Evidence mystérieuse de la clarté lunaire

Ce manque d'intérêt pour la lecture me touche, moi qui n'aurai en quelque sorte vécu que par des livres, sinon pour eux, et qui me demande si je n'y aurai pas perdu ma vie, en tout cas cette forme d'innocence sans laquelle il est impossible de vivre ou, pour reprendre une expression qui a l'évidence mystérieuse de la clarté lunaire, d'attendre tout de la vie.











Les cheveux d'un spectre

Comment écrire sans inventer tout à fait, en demeurant au plus près d'une vérité qui n'a que le vraisemblable pour figure? Tout ça est loin, trop loin peut-être, et irreprésentable autrement que par une sorte de défi aux lois de la perspective narrative: autant vouloir peigner les cheveux d'un spectre [...]






Réflexe de pudeur ou rejet d'imposture

Sans doute est-il difficile de concevoir ce qu'on n'est pas en mesure de juger à partir d'un corps, d'une voix, d'un rire, de gestes, de faits dont on n'a pas été le témoin, celui qui n'a pas été serré dans les bras d'un disparu étant réduit à entretenir avec lui un commerce d'outre-tombe où la fiction le dispute au regret. Je ne peux donc qu'essayer de comprendre cette dureté, cette intransigeance, selon mon père, cette intolérance, selon mon oncle - tout jugement, même inique, ou porté rétrospectivement, étant, avec l'amour, la seule façon de déloger un visage de la grande ombre où le renvoie un récit, écrire ne révélant jamais que notre vanité devant l'absence, à tout le moins notre impuissance à dire ce que fut réellement un être vivant. [...] L'obscurité du sang est notre vraie mémoire, et la fiction une forme d'oubli, même si cette fiction se dérobe, par réflexe de pudeur autant que par rejet de l'imposture [...]





Inconstance du monde

Tandis que son père feuilletait l'ILLUSTRATION, jouait aux dames, regardait clients et garçons retrouvés d'une fois à l'autre avec curiosité pour mon père, et, pour mon grand-père, une sorte d'euphorie que j'ai peine à me représenter tant mon oncle me donne de ce solitaire qui, à la façon d'un sage chinois, venait là éprouver la vanité et l'inconstance du monde, une image sombre, d'une grande dureté, presque terrible, selon la vérité du rapport difficile, voire douloureux, qu'un homme entretient avec son origine.






Le goût de la solitude

Ces relations ne furent pas remplacées. Peut-être savait-il qu'on a jamais d'amis, ou que toute amitié se fonde sur des malentendus où l'amour-propre et l'intérêt travaillent plus que l'altruisme et la générosité. [...] Germain Millet était un de ces êtres, si incompréhensibles aujourd'hui, qui ont le goût de la solitude: une solitude qui était plus un accomplissement que de la misanthropie ou la contestation de l'ordre social qu'elle est devenue dans une société qui a fait du vivre-ensemble, de la transparence, du festif, de la convivialité, une des figures de la démocratie où les solitaires sont suspects aux vertueux hédonistes du nouvel ordre moral. Mais s'il aimait autant la solitude, c'était qu'il pouvait ainsi laisser libre cours à ce qu'il faut bien appeler son originalité ou ses bizarreries.



Le royaume de la noire illusion

Le temps où je n'ai pas été au monde est une île de mots sur laquelle je tente inlassablement de prendre pied tout en sachant qu'on n'y sera que fantôme, l'autre côté n'étant que le royaume de la noire illusion, aucun vivant ne franchissant cette mer inconnue, sinon sous forme de métaphores qui ne sont qu'une anticipation de notre propre mort. Je me retire de ce seuil: la vie n'est pas la gestion plus ou moins raisonnable et heureuse de moments qui se succèdent comme des nuages, mais une série d'actes souvent obscurs, incompréhensibles à autrui, sinon à nous-mêmes, que nous passerons notre vie non pas à essayer d'éclaircir mais à en mesurer l'ombre portée sur un futur où nous ne serons plus. [...] Autant que du sang, ce qui coule en nous est l'invisible éclat d'une puissance qui nous dépasse et qui se nomme amour, mélancolie, folie, ou destin. [...] L'être que je ne puis convoquer entièrement par l'écriture me demandant  d'être ombre à mon tour, et de reconnaître qu'une main d'encre ne saurait dissiper la nuit où nous pourrions parler.
Ecrire, c'est échouer à dire le propre d'autrui tout en suscitant son ombre. Le sel d'autrui, c'est ce dont l'écriture ne peut que dire la perte, l'oubli, l'immémorial. [...] Mais ce qu'on appelle échec n'est ici que la nécessaire traversée des ténèbres, dont nous rapportons toujours quelque chose, fût-ce une main qui a été serrée, au coeur d'un songe ou d'une nuit d'hiver, par un être invisible.




Tout humain est étranger sur Terre

C'était un étranger qui avait quitté les siens, non seulement l'espèce d'étranger qu'il avait toujours été pour eux, d'une certaine façon, mais celui dont la figure ultime accomplissait cette loi qui veut que tout humain soit étranger sur la terre, y compris à lui-même.





Petit éloge d'un solitaire, Richard Millet

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14 avril 2009 2 14 /04 /avril /2009 23:50

My Heart Leaps Up - William Wordsworth


My heart leaps up when I behold
A rainbow in the sky:
So was it when my life began;
So is it now I am a man;
So be it when I shall grow old,
Or let me die!
The Child is father of the Man;
And I could wish my days to be
Bound each to each by natural piety.


I’m taking a ride off to one side
It is a personal thing.
Where?
When I can’t stand
Up in this cage I’m not regretting.

I don’t need a better thing,
I’d settle for less,
It’s another thing for me,
I just have to wander through this world
Alone.

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11 avril 2009 6 11 /04 /avril /2009 11:25

Futilité matérialiste.

Je ne pense pas, je dépense.

J'ai la     fièvre, la fièvre de la carte bleue.
Des billets en veux tu en voilà.
Je fais flamber mon porte-monnaie.

L'argent à quoi ça sert d'en gagner si c'est pour tout garder!


Haha, le capitalisme vous tuera mes chers amis!
Les emprunts, les stock-options, les crédits à la consommation.

Consommez!
Consumez vos liquidités!
Rira bien qui rira le dernier.

Vivre au jour le jour est une belle chose que chacun apprécie à juste titre. Seulement la vie n'est pas si rose qu'on le voudrait, et il faut parfois prévoir... Le mot qui fait mal!
On vit aujourd'hui dans un monde qui ne connait plus le "raisonnable", le "juste milieu", celui qui nous tient entre la sage "raison" et le fébrile "laisser-aller" (au sens positif du terme j'entends bien). On vit dans l'âge des extrèmes. C'est tout ou rien, noir ou blanc, chaud ou froid. On a perdu la douce tiédeur des heures de printemps et on s'échappe du grand froid hivernal directement vers les fortes chaleurs d'été. On ne prend plus le temps de voir qu'il existe un point entre les deux, un endroit doux et calme. Celui où on prend le temps de réfléchir pour ne pas se retrouver fauché, et suffisament pour sentir monter en soi une dose d'incensé, d'inattendu.

Hé oui, je considère à égal deux types de personnes totalement opposées, les ultra-pressés, et les hippies.
Prenez moi pour ce que vous voudrez, vous pensez certainement que je réfléchis déjà trop pour en arriver à ces conclusions. Oui je réfléchis trop, mais pas quand jsais que je peux faire du grand n'importe quoi (avec ou sans conséquences plus ou moins importantes...).

Mais parfois, quand on en vient à produire des phrases telles que: "je ne pense pas, je dépense"; on flippe! On se demande qui est le maître entre le produit et l'acheteur. Pourquoi acheter n'est-il plus une action réfléchie? Au-delà des produits de premières nécessités (qui ont sensiblement changés de nature à yeux des contemporains..), il faut toujours penser à ce qu'on achète, non? A moins que je ne fasse partie d'une espèce en voie de disparition, j'ai la triste impression que la masse populaire (rien de négatif ici) achète sans réfléchir, ou peut-être, sans soumettre ses achats à un processus plus poussé de pensée, ne pas se contenter d'un "tiens, j'ai envie de jouer aux jeux-vidéos, je m'achète une console, ça mfera bien marrer et ça utilisera mon temps libre". Même si ce côté libérateur du "je me fais plaisir de quoi tu te mêles" me parait tout à fait recevable, je ne comprends pas qu'on puisse remplir sa maison d'objets inutiles à la vie, de futilité matérialiste.
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11 avril 2009 6 11 /04 /avril /2009 11:17


On a cru braver des sommets.
On a cru s'envoler.
On a cru réussir à miniaturiser.
On a cru vivre en société.
On a cru tout rationnaliser.

Et pourtant:

On pollue des montagnes
On explose des avions
On a besoin de lunettes
On s'enfuit loin de tout humanité
On fait toujours de la poésie.


Mais rien de tout ça nous empêche d'y croire,
seulement il ne faut pas se perdre dans de grandes idées,
oublier les autres et la solidarité,
ne plus rien comprendre que le pouvoir.

Demain tout pourra changer
d'un autre monde nous pourrons espérer.
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3 avril 2009 5 03 /04 /avril /2009 21:37



Broken, Beat & Scarred

You rise, you fall.
Your down then you rise again.
What don't kill you make you more strong.
You rise, you fall.
Your down then you rise again.
What don't kill you make you more strong.
Rise, fall, down, rise again.
What don't kill you make you more strong.
Rise, fall, down, rise again.
What don't kill you make you more strong.
Through black days, through black nights,
Through pitch black insights.


Breaking your teeth on the hard life a'coming.
Show, your, scars.
Cutting your feet on the hard earth a'running.
Show, your, scars.
Breaking your life, broken beat and scarred.
But we die hard!

The dawn, the death, the fight to the final breath.
What don't kill you make you more strong.
The dawn, the death, the fight to the final breath.
What don't kill you make you more strong.
Dawn, death, fight, final breath.
What don't kill you make you more strong.
Dawn, death, fight, final breath.
What don't kill you make you more strong.
They scratch me, they scrape me,
they cut and rape me.

Breaking your teeth on the hard life a'coming.
Show, your, scars.
Cutting your feet on the hard earth a'running.
Show, your, scars.
Breaking your life, broken beat and scarred.
but we die hard!

Breaking your teeth on the hard life a'coming.
Show, your, scars.
Cutting your feet on the hard earth a'running.
Show, your, scars.
Raiding your soul in a hard luck story.
Show, your, scars.
Spilling your blood in a hot sun's a'glory.
Show, your, scars.
Breaking your life, broken beat and scarred.

We die hard
We die hard
We die hard


Cette piste a l'air de toucher particulièrement James Hetfield, comprendra qui voudra.
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3 avril 2009 5 03 /04 /avril /2009 21:27
Halo

This is a call to arms,
Will you stand beside me?
This is our time to fight
No more compromising
And this blackened heart will sing
For sad solidarity

Halo over our demise
Following a god so blind
Sallow in their sickening
Swallow not, the shit they feed

This is a right to life,
Not the Religious Right’s act
This is abortion’s knife,
Aiming at the wombs of
The Christian conspiracy
So open thine eyes and see, the

Halo over our demise
Following a god so blind
Sallow in their sickening
Swallow not, the shit they feed

Our time will come, our time will come
Our time is now, our time is now

[Solo: Demmel, Flynn & Demmel]

And I won’t pray for you

Halo over our demise
Following a god so blind
Sallow in their sickening
Swallow not, the shit they feed

The words will never hold us down
Prayers won’t be spared on you
Satisfaction denied
‘Til you’re dead and gone
Gone
Dead and gone!
You’re gone!
Descend The Shades Of Night

Sitting in the empty black
The last slivers of dusk have passed
Accept the dawn to ease the fear
One day I will not be here
Death she comes and with her thread
Upon me ties a mask for dead
Its tears of blood begin to seep
And bleed the sky

Descend the shades of night
Death shines her golden light
Across a blackened sky
All our hate is a product of our world...
We created

Ashen clouds obscure my brain
Doubts begin to turn to shame
Insecureness tears at bliss
I hate me for this weakness
Faith drives me to carry on
And take the road less travelled on
Resentment swallowed means to drown
The poison down
The shades of night descend

Descend the shades of night
Death shines her golden light
Across a blackened sky
All our hate is a product of our world...
We created

Scream with me
Bleed with me
Seethe with me
Sing with me

Free me
Free me
Free me

Descend the shades of night
Death shines her golden light
Across a blackened sky
The shades of night descend


Je vous fais part ici des 2 merveilles de Machine Head qui ont fait trembler tout Bercy...


Et en prime, jvous offre ma préférée:



Days Turn Blue To Gray

Thou have fathered
Son and daughter
Doth begat, yet raised not bother
Paralyzed your children lives
Wither vines of family ties

Self-destruction
Make him function
Crayons and clay
Days turn blue to gray
Days turn blue to gray

Seventeen when
Family begin
Drinking, fighting, heroin
Unquenchable addictions call
Responsible to none above all

Self-destruction
Makes him function
Crayons and clay
Days turn blue to gray
Days turn blue to gray

Lest I taste
Its sweet grapes
Glass to tongue
Across it tips
Cross my lips
Swallow it down

Please
Won't you love me?
Please help me see
What did I do?
Did I hurt you?
And now that you're gone
Emptiness lives on
The guilt is all I feel
No closure

Father
Motherfucker
No closure

The strings of my heart
You pulled on endlessly
This twine is severed
In tragedy

Father
Mother Destroyer
Destroy her

Your self-destruction
What made you feel alive
Your self-destruction
Of your children Lives
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2 avril 2009 4 02 /04 /avril /2009 22:46

Je cherche depuis toute à l'heure à faire une review de ce concert, seulement je n'y arrive pas... Je n'ai pas de mot, j'ai plein d'images et des vidéos. J'ai plein de souvenirs, mais pas de mot. Je pourrais dire: génialissimement énorme. Mais ça ne suffirait pas.

Je vous donne la setlist du concert de Metallica qui a eu lieu hier, mercredi 1er avril 2009 à Paris Bercy:

01.That Was Just Your Life
02.The End of the Line
03.Harvester Of Sorrow
04.Disposable Heroes
05.One
06.Broken, Beat & Scarred
07.Cyanide
08.Sad But True
09.The Unforgiven
10.The Judas Kiss
11.Kirk Solo #1
12.The Day That Never Comes
13.Master Of Puppets
14.Damage, Inc.
15.Kirk Solo #2
16.Nothing Else Matters
17.Enter Sandman
18.Stone Dead Forever
19.Phantom Lord
20.Seek and Destroy

Total Time: 2:10:34

Comme vous pouvez le constater, 2h10 de spectacle. Inlassable.

Une toute première partie dont le son ne passait pas hyper bien pour The Sword

Une seconde partie très pro de Machine Head (ou Mushy Ned pour les intimes), avec une magnifique interprétation de leurs titres Halo et Descend The Shades Of Night à donner la chair de poule! (ils n'ont pas joué Days Turn Blue To Gray, mon titre préféré, mais je m'y attendais alors je ne suis pas déçu!)

Et le Master of the Night: METALLICA: un public déchainé même dans les gradins où le sol tremblait dangeureusement. Un décor a vous couper le souffle fait de cercueils mobiles montés de spots lumineux. Des lasers, des effets pyrotechniques, un groupe chaud comme la braise, un public qui le leur rend bien. Que du bonheur.
Je vous laisse admirer les photos par ici. (Ce lien devrait fonctionner pour tout le monde y compris les non-membres)
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29 mars 2009 7 29 /03 /mars /2009 21:52
Des fois on réfléchit trop.
Des fois on ne s'arrête plus.
Des fois c'est bien...
Des fois c'est malsain.
Des fois ça sert à rien!
Des fois on a trop bu.
Des fois le monde est beau.
Des fois le monde est salaud.

Mais demain tout ira bien,
Et ces pensées ne changeront rien.
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