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23 novembre 2020 1 23 /11 /novembre /2020 11:29

Il n'y a pas si longtemps que ça (1er août 2019...), je crois que j'ai parlé du doute par ici (oui OK c'était en anglais...)

Et là, ça fait quelques jours où je me dis qu'il y a aussi l'incertitude dont il faudrait parler!

Alors elle, c'est pas la copine de grand monde. Elle est même plutôt mal-aimée je trouve.
Dommage!

Pour faire court (mouais, j'y crois pas), l'incertitude (tout autant que le doute) a toujours fait partie de ma vie (d'adulte et aussi d'adolescent à l'époque de mes débuts par ici...). J'ai donc vécu avec un tas d'incertitudes. Beaucoup de questions sans responses immédiates possibles mais qui, à une certaine échéance, trouveront leur issue.
Je crois que c'est d'actualité non? (2020 tout ça tout ça...l'année masquée quoi...)
Et c'est quand je vois cette overdose d'incertitude qui plane sur notre planète que je tire mon épingle du jeu et que je remercie l'univers de m'avoir appris à faire face à l'incertitude, ou du moins de vivre avec. Elle existe, elle est réelle, elle nous accompagne. Elle nous énerve aussi bien sûr... Mais à quoi bon s'énerver contre cette inconnue. 

Foutue équation... 
Parfois rien d'autre que le temps qui passe ne peut la résoudre!

Pourquoi toujours vouloir faire face à l'incertitude? Pourquoi s'obstiner à vouloir lui tenir tête?
Finalement, on trouve souvent une réponse en un mot, un concept: la patience! S'apprend-elle ? Est-elle innée? Oui, j'ai la chance d'être la patience incarnée! Héhé!
Je vous souhaite à tous de trouver en vous la force d'atteindre cette sagesse suprême qu'est la patience! (oui, je suis bien évidemment un sage suprême, vous croyez quoi?!)

Aller, bye! Je retourne attendre la fin de cette année de merde et croire que l'incertitude peut être cajolée et nourrie afin d'en sortir plus fort!

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2 mai 2019 4 02 /05 /mai /2019 18:21

My brain was off for so long, then something clicked.

No matter what the trigger was, I now float in floods of thoughts.

Great thoughts, bad thoughts, as useful as they can be useless, just thoughts.

Always thinking, rapidly, about this and that. Things in life, state of life, little joys, little failures, big joys and big failures.

Unstoppable but without pain, for once in a blue moon!

My state of mind surprises me. It's not about feeling 'alive’ and making the most of it. It's more about the process of thinking.

It's as if I never got the chance to meet with my brain lately (for the past few years).

Inhibited, numbed.

As if the grey matter needed a little kick of some sort. I am no fully aware and letting just about everything flow.

An encounter with someone has made me come back to this blog, I went through some of my texts, deleted a few that didn't ressemble me, kept some that were inspired by long gone sources of inspiration.

I've also been listening to some of my all time favourite inspiring music which definitely helped set the mood.

 

What I've been reflecting on doesn't truly matter to readers, they're necessary thoughts that I'm keeping to myself. Perhaps one day, when I'll stop feeling like I'm 24 again…(which is great, by the way!)

 

Regaining power.

 

But first I must learn how to smile as I kill.

[Thanks to John, and the many covers by fantastic artists - 'Working Class Hero’]

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29 octobre 2012 1 29 /10 /octobre /2012 06:00

What's that sound buzzing through your ears?

 190304 10150169137861081 549861080 8531691 1053580 n

Have you ever felt that before?

When your entire mind, your entire self, your persona, became unfamiliar.

When you don't recognize yourself in the mirror.

When your actions do not match what you've always done.

 

Are you pleased? Are you afraid of what might happen next? Are you looking for a way out? Are you waiting for a particular event that might put things back to normal? Are you just living with what the day comes to offer?

 

A new beginning, a fresh start. The right time to make a change in your life. They will say this to you. They will encourage you to see the potential of that big moment.

They will tell you how much lucky you are. You will probably believe them, and you have every right to do so. (And who am I to tell you that, even...).

 

But who's in control? Who's mastering your every move? Are you? Does it matter really?

 

So what about that sound buzzing through your ears? Would you think it tries to tell you something? Would you look for a meaning in everything that surrounds you?

 

Or just get on with your life, however it is?

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21 octobre 2012 7 21 /10 /octobre /2012 22:18

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Quel est ce nouveau dictat ? 

Vous savez bien duquel je parle. Celui qui vous dit de vivre votre vie à fond, de profiter un max, de bouger, de voyager, d'aller vers les autres.

 

Mais qui sont ces gens qui savent mieux que vous ce qui vous plait dans la vie?

Quelle vie vivent-ils ? La vôtre ? Que savent-ils de ce qui vous convient le mieux ?

 

C'est exaspérant cette dictature du "bouge toi pour profiter". Comme si le calme et la lenteur de l'instant présent n'étaient pas suffisants. Toujours ce même rythme effréné. On veut vous faire courir, on veut tout simplement vous faire FAIRE! Et si on s'arrêtait ensemble deux ou trois minutes le temps de réfléchir à cela?

 

C'est la première fois que j'en parle ici mais c'est une réflexion commencée il y a un moment.

Les gens sont tous similaires dans leurs différences! Nous sommes tous les mêmes: uniques!

Les goûts et les couleurs! La beauté n'est jamais un concept universel! Tout le monde ne trouve pas Angelina Jolie mignonne (moi le premier).

 

Alors POURQUOI est-ce qu'on veut que tout le monde s'active pour profiter de la vie?

Je le vois bien le bon Monsieur Dupont, champion d'échec. Le matin, il allume son Ipad (oui, il est à la mode, le pauvre...) et lance son application favorite "check-mate" (ou échec et mat en français) pour se connecter et rejoindre des serveurs de jeu où il peut affronter les meilleurs joueurs mondiaux. Chacun chez soi. Et bien vous savez quoi? Notre bon Monsieur Dupont, il n'a pas besoin de se bouger pour profiter de sa vie! Il aime les échecs, il joue aux échecs! C'est aussi simple que cela!

 

L'important n'est pas de bouger, d'aller à l'autre bout du monde, pour profiter de LA vie. L'important, c'est de vivre SA vie. On fait ses propres choix. On peut être aidé bien sûr!!! On peut même avoir cette envie folle de partir vivre dans un pays très différent du sien! Vos choix font votre vie. Vos plaisirs font vos joies.

 

Ce discours est probablement très individualiste. Mais aider les autres n'est pas toujours facile pour tous. Échanger avec nos semblables n'est pas non plus une activité que tout le monde est vraiment doué à faire. Chacun sa force. Tous ensemble nous arriverons à leur faire comprendre que passer sa journée devant une télé ou un écran d'ordinateur, ce n'est pas le mal absolu. Tant que l'on fait ce que l'on aime.

 

Je vous salue, rares lecteurs.

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12 juin 2012 2 12 /06 /juin /2012 19:09

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A l’école on apprend : le social-communisme, c’est le goulag.

Fâchés de payer des impôts : c’est un art de vivre. Un élément culturel tout à fait français.  C’est  d’utilité publique de ne pas aimer payer des impôts. Si on ose dire : « oui, je suis CONTENT de payer des impôts » de suite, on est pris pour un fou, un déjanté. Comme s’il était inconcevable d’accepter payer des impôts.

Imposer.

C’est vraiment LE mot détesté des Français. Non, on n’aime pas vraiment que l’on nous impose quoi que ce soit. Des droits, des droits, toujours des droits. Des devoirs ? Non mais vous rigolez ?!?

Mais, que s’est-il passé chez nos concitoyens Français ? Que leur est-il arrivé ? Ont-ils simplement oublié les véritables VALEURS de la République Française ?

La Liberté, l’Egalité, la Fraternité !

Bon, OK, le premier, on peut dire qu’on aimerait bien en avoir plus. Mais tant qu’on est libre de Penser, d’exprimer sa Pensée (sans outrager !), c’est le plus beau cadeau que nous fait notre République !

L’Egalité. C’est quoi ? C’est la parité Femmes-Hommes (ah, ça vous surprend de le voir écrit comme ça hein ?!) qui se dessine petit à petit. C’est l’absence de privilèges ! Nous sommes tous tenus de suivre les mêmes lois (les Hauts Fonctionnaires de notre Etat enfreignent parfois les règles en roulant un peu vite pour aller à un rendez-vous éloigné… c’est dommageable, certes, mais leur Fonction anormale nécessite parfois des comportements anormaux, quoi qu’ils en disent…). C’est l’Egalité des chances ! Les MEMES Droits pour TOUS ! De rouler sur des routes goudronnées, de se soigner, de se former !

Le troisième, et pas des moindres ! La Fraternité. Qu’est-ce que cela signifie ? C’est sûrement ce point essentiel que les rageurs imposés semblent avoir oublié. C’est tout de même regrettable. La Fraternité, c’est mettre des sous dans un pot, pour que l’Etat pioche et finance ainsi le fonctionnement de NOTRE Société. Ah, ouiiii !!! Hé oui ! La Solidarité quoi ! Ce gros mot qui, lorsque je le scande, on me prend pour un socialo-communiste de l’extrême, un envoyeur aux goulags. La Fraternité. Ce n’est pas voler aux riches pour donner aux pauvres. C’est tout le monde participe à notre vie commune et partagée.

Finalement, les gens qui gagnent vraiment beaucoup d’argent ne sont pas contents car ils fournissent plus à notre Société que les autres. Mais, que leur reste-t-il lorsqu’ils ont été imposés ? Vont-ils hésités entre manger des pâtes ou ne pas manger le soir venu ?

Individualisation de la société avez-vous dit ?....

Dans la vraie vie on se rend compte : le capitalisme, c’est marche ou crève.

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23 mars 2012 5 23 /03 /mars /2012 15:00

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C'est l'éclate! C'est prenant, intéressant!

On ouvre un livre. On le parcours en diagonale. On s'arrête sur une page qui inspire ou interpelle. Utile ou inutile, peu importe.

On y passe des heures. On s'y perd. On s'y plaît.

On ouvre un livre, on le découvre, on le referme pour en ouvrir un autre...

C'est la même routine, en boucle. En quête de la citation qui supplantera toutes les autres. LA référence parfaite. On est un peu idéaliste dans un certain sens. Mais on s'y plaît.

On découvre des dimensions cachées de notre propre domaine, des traits significatifs dont on ne se doutait pas. Ils éveillent notre curiosité. On creuse. On comprend.

On passe à autre chose. On se recadre, on rentre dans les rangs. On se reprend.

Le mémoire reprend.... (OH TIENS, un autre bouquin!)

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8 mars 2012 4 08 /03 /mars /2012 16:23

Finalement, écrire un mémoire, c'est pas seulement un travail qui permettra d'avoir un diplôme. C'est un véritable challenge personnel. Et puis, selon le choix de sa discipline et du sujet, s'ajoute, de manière plus ou moins forte, un investissement de soi.

Le mémoire de fin d'études, c'est pas seulement la clé des champs, ou la possibilité future de prendre le prochain vol pour Buenos Aires. C'est un engagement de son être, une prise de conscience scientifique.

Pour être un peu égocentrique, mon mémoire tourne autour de mon expérience. De ma vie. Replonger dans mes souvenirs de jeune écolier puis collégien, lycéen, étudiant, et pour couronner le tout, ceux d'enseignant. C'est un retour en arrière de plus de 10 ans. L'idée est de ne pas trop sombrer dans le mémorial, de se refaire les films d'un autre temps, de se rappeler d'évènements joyeux ou malheureux. Le vrai challenge est là, rester dans le domaine à travailler, ne pas permettre à l'esprit un vagabondage mémoriel. S'enfermer, se cloîtrer, se contenter d'une seule chose. Toujours la même, au fil des ans, des mois, des semaines, des jours et des heures. Répétitif en soi, mais évolutif. Gagner en aptitudes, en profondeur. Au fur et à mesure. Exploiter ses capacités accumulées. Grandir, vieillir, murir. Laisser croître ses compétences.

Se défendre contre soi-même, fantôme des années qui passent. Accepter, réfléchir, trancher, vaincre.

L'introspection, c'est réfléchir sur soi. C’est se définir.

Le frein, c’est la peur. Plus que le stress dû à l’échéance d’un pavé et de sa soutenance, c’est la peur du résultat et des conclusions qui l’emporte. Jusqu’où ira-t-on ? La fin sera-t-elle digne du travail et de la réflexion entrepris ? Comme si on allait découvrir des choses à l’opposé de nos convictions. Le droitier devenu gaucher après s’être cassé le poignet.

Ils nous disent que tout ce qui ne tue pas nous rend plus fort. Je l’espère.

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25 janvier 2012 3 25 /01 /janvier /2012 18:44

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Finalement, la société de consommation, elle nous suit vraiment PARTOUT !

Le client est roi.

Sauf que, l'individu, originalement, n'est pas "client", il est humain.

L'individu, de nos jours, adopte un peu trop ce comportement de client, où du moment qu'il a fait quelque chose, l'individu est exigeant. Il réclame. Oui, comme un enfant capricieux désireux d'avoir le dernier gadget de sa génération (je me souviens des Tamagotchi, entre autres).

L'humain se déshumanise.

Si si, je vous jure ! D'ailleurs, ça me rend malade. Enfin, j'ose espérer que c'est un élan de sarcasme, que les gens ne sont pas sérieux quand ils s'impatientent pour telle ou telle chose, qu'ils cherchent à comprendre pourquoi les choses suivent le cours qu'elles ont. L'humain aurait-il perdu sa capacité à véritablement réfléchir ? A se positionner en observateur omniscient, capable de tout voir, tout comprendre ?

L'humain me semble de moins en moins compréhensif du monde qui l'entoure. Comme si, finalement, il n'y a plus que lui seul qui compte. Sa propre évolution dans une société qui survit ensemble mais ne partage plus. Comment peut-on encore appeler ça "société" ?

Finalement, le consommateur/client est anti-sociétal. Donc en vrai, la "société de consommation" ça ne peut pas véritablement fonctionner.

Je paye, donc je suis.

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17 janvier 2012 2 17 /01 /janvier /2012 15:11

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Je ne sais pas comment on doit le prendre, mais quand il y a un moment où tu te rends compte que tu as changé, t'as un sentiment bizarre.

Mais comme certains disent, les gens ne changent pas, ils vieillissent. Alors peut-être. Peut-être que je vieillis, qu'une part de moi a mûri. Oui, une part seulement (FAUT PAS DECONNER!)

Je me rends compte que je ne réagis plus de la même manière aux choses qui m'entourent. C'est certainement parce que j'ai gagné en prise de distance, je n'ai plus le goût de la confrontation immédiate et impulsive, mais plus réfléchie et raisonnée. Du coup, la mise en place des idées perd de son cinisme tant adulé. Pourtant, les idées n'ont pas changées... Elles sont même plus extrémistes qu'avant. Peut-être pas toujours assumées aussi... Tellement peu de gens les partagent que parfois, il vaut mieux se taire, s'enfouir six pieds sous terre. On est idéaliste ou on ne l'est pas.

Il est clair qu'en ces temps campagnards (oui, c'est sémantiquement pas correct, mais l'image me plait), je suis de plus en plus en auto-confrontation (non, je ne me fais pas renverser par des voitures tous les jours de la semaine!!!) Il faut bien réfléchir, comprendre le poids de mes idées et leurs portées. Il est clair que si trop peu de gens ont les mêmes convictions que moi, je suis celui qui va devoir faire des concessions (on oublie la métaphore filée automobile... et pour info, "celui" est le sujet du verbe aller d'où la forme utilisée dans cette subordonnée: "va") Il faut aussi savoir que je suis toujours maitre de mes opinions, et que je ne vais pas trop aller à l'encontre des mes pensées. Cela ne sera pas évident, mais certains points sont primordiaux.

Vous êtes déçus, je ne me positionne pas. Vous ne saurez pas.

Et ça, c'est aussi le résultat des années qui passent. Je me suis rendu compte (enfin, on me l'a rendu-compte) que je parlais beaucoup plus de moi avant. Et oui, ça a changé. Disons que c'est la même prise de recul. Le monde entier n'a pas besoin de savoir. C'est comme Facebook... Je n'ai surement pas la même utilisation de cet outil que vous. (et je m'en excuse pas! c'est comme ça et puis c'est tout!)

Tout ça pour dire que je ne retourne pas ma veste, que je ne suis pas opportuniste, que je ne pense pas être trop fataliste, ni ce qu'on appelle "réaliste", mais juste raisonné et stratégique. C'est la théorie du moins pire.

A bonne entendeure, bon voyage et bon chance.

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20 décembre 2011 2 20 /12 /décembre /2011 00:32

darkness.jpg

 

Light cannot exist without darkness.

Each has its purpose.

And if there is a purpose to my darkness,

maybe it's to bring some balance to the world.

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